"L’éolien ne se substituera à aucun autre mode de production. Les politiques, les experts, disserteront pour opter sur un pourcentage : 3 % ou 15 % de l’électricité sera d’origine éolienne. Pour produire cette électricité, il faut dégrader des sites innombrables, couler des tonnes de béton, installer des mâts et des pales où viendront se faire hacher oiseaux et chauves-souris. En l’absence de vent, lors des hautes pressions atmosphériques hivernales, lorsqu’il fait très froid et que surviennent des « pics de consommation », l’éolien ne peut pas répondre à la demande. Résultats : Socialement, cette électricité est plus chère que toute autre et ce coût est assumé par l’usager. Écologiquement, des paysages sont enlaidis, l’avifaune subit une agression supplémentaire. Techniquement, aucun autre mode de production d’électricité n’est abandonné, puisque l’éolien ne sera jamais qu’un appoint. On ajoute des nuisances sans en supprimer aucune. L’éolien crée, au profit